Villefranche-de-Rouergue (12200)

En 1450, sire Vezian Valette, riche marchand de Villefranche, mourut à Rome où il était allé gagner l'indulgence plénière du premier jubilé du pape Clément VII. Sa veuve, pour se conformer aux dispositions du testament, fit construire le couvent de la Chartreuse. Les travaux débutent en 1451, sous l'égide du prieur Pierre Marcellariis, envoyé par le prieur de la grande Chartreuse. L'église, le cloître et le chapitre sont achevés en 1458. En 1461, Vezian Valette est inhumé dans le tombeau qui lui avait été préparé. En 1491, la chartreuse est incorporée à son ordre par le chapitre général tenu à la grande Chartreuse de Grenoble. L'église est consacrée en 1546. En 1561, les Chartreux de Villefranche sont chassés du couvent par la famille Valette, Huguenots se disant de la même famille que Vezian Valette. Les Chartreux se retirent au couvent des Cordeliers de Villefranche. En 1790, les Chartreux sont de nouveau chassés et la chartreuse mise en vente. En 1792, les religieuses de l'hôpital de Villefranche y installent leurs malades. Les bâtiments, déjà remaniés au 17e siècle, subissent de nouveaux aménagements pour se conformer à cette utilisation. Les cloîtres, le chapitre et les chapelles témoignent d'une certaine recherche ornementale. Les cellules des moines étaient des pièces carrées surélevées d'un galetas dont l'accès se faisait par une trappe. Le chartreux y recevait la nourriture par une ouverture pratiquée dans le mur de la galerie du cloître. Une sorte de petit promenoir couvert et un cabinet d'aisances formaient le complément de ce logis qu'entourait un petit enclos. Les chartreux se réunissaient au réfectoire les jeudis et dimanches.

Edifice dont le plan reprend la forme d'un quadrilobe précédé d'un narthex rectangulaire surmonté d'une tribune. Une voûte en bois à nervures, ornée d'arabesques peintes, couvre le sanctuaire.

Château Renaissance construit à partir de 1545 par Jean Imbert d'Ardennes, riche bourgeois de la ville qui tirait sa fortune de l'exploitation des mines de cuivre des environs, et complété en 1553. En 1846, le château est vendu aux missionnaires de l'ordre de Picpus, qui sont expulsés en 1905. L'édifice de plan carré délimite une cour intérieure. L'aile nord, inhabitable, est constituée de trois galeries superposées auxquelles est adossé le portail triomphal à deux baies et ouvertures latérales. Quatre tours rondes cantonnent le château. Les façades sont ornées d'un décor sculpté et superposent des ordres Renaissance. Deux escaliers desservent le château, l'un à vis dans la tour nord-ouest ; l'autre monumental dans l'aile Est, avec colonnes cannelées à chapiteau dorique, ionique et corinthien. Dans la grande salle du rez-de-chaussée, cheminée monumentale avec, au centre de la hotte, un cartouche figurant un personnage nu tenant un fouet et un masque symbolisant la comédie flanqué de cariatides engainées. Les piédroits sont décorés d'atlantes engainés. De grands bâtiments du 19e siècle flanquent le château.

Edifice gothique construit en 1455, en complément de l'hôpital Saint-Jacques. En 1752, l'hôpital devient la maison de la Miséricorde desservie par les soeurs de la Charité. En 1792, l'église est désaffectée et vendue comme bien national, l'église devient maison d'habitation et dépôt. En 1826, elle est vendue à un particulier qui l'utilise comme garage. La commune en a récemment fait l'acquisition pour en faire un centre d'information sur les chemins de Compostelle.

L'église, commencée au 14e siècle, a été continuée à la fin du 15e et au 16e siècle, par la tour du portail ouest restée inachevée. L'édifice se compose d'un sanctuaire polygonal précédé par un transept dont les bras sont terminés par des absides à pans, et une nef formée de trois travées dont une double. De robustres contreforts intérieurs servent de séparation aux chapelles latérales. Une tribune à pans coupés est pratiquée au-dessus de la porte d'entrée. La façade ouest est précédée par une tour conçue dans des proportions colossales à la fin du 15e siècle et arrêtée au deuxième étage. Stalles à deux rangs du 16e siècle qui, autrefois, devaient être placées au droit du transept.

Cette fontaine occupe un terrain enclos de murs. L'accès se fait par douze marches qui occupent tout un côté du rectangle. L'eau est reçue dans deux vasques. La margelle du premier bassin est circulaire, décorée sur le pourtour de corbelets en méplat. La vasque du milieu est à dix pans ; à chaque angle, une colonnette cantonne la margelle et porte la moulure haute. Les faces portent quatre goulottes et six têtes ou mascarons en relief.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif. La façade que cette maison présente sur la place, date de la fin du 15e siècle. Ce premier corps de bâtiment est suivi d'une cour donnant sur un second corps de bâtiment datant du début du 16e siècle.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif. Cette maison, l'une des plus intéressantes de la place, comprend un rez-de-chaussée composé d'une boutique ouvrant sur les arcades, de deux étages avec des baies à linteau arrondi et, au quatrième étage, deux échauguettes carrées portées chacune sur quatre corbeaux.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif. La façade de cette maison est composée de deux travées reposant sur deux arcades plein cintre. Les fenêtres du premier ont perdu leur meneau et traverse, mais la mouluration est restée intacte. Les fenêtres du deuxième étage ont été refaites au 19e.

Voir historique de la place dans le dossier : place Notre-Dame (réf. PA00094239).

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Implantée dans la gâche de la Fon, la maison AT 10 occupe une parcelle traversante ouvrant au sud sur une ruelle et au nord sur la place de la Fontaine (fontaine et place classées 1920/10/05). L'îlot, qui selon les périodes était divisé en cinq à huit parcelles, se trouve en limite sud du premier tracé de la bastide qui a été agrandie vers le sud le long de la rue Droite (rue de la République) à la suite à la construction du pont des Consuls sur l'Aveyron (1298 à 1321). Cette place, avec celle de Notre-Dame, constitue un aménagement urbain remarquable, un des rares espaces dégagés au sein de la bastide. La maison jouit d'une double orientation, bénéficiant de beaucoup plus de lumière et d'air que la plupart des constructions de la ville. Sur la rue de la Monnaie, le rez-de-chaussée de la maison AT 10 conserve deux portes en arcs brisés avec chanfrein, datables du XIIIe ou du XIVe siècle, témoins d'une première phase de construction de la maison. Dans le cadastre de 1518, deux propriétaires pour cette parcelle AT 10 apparaissent : noble Bertran de Marcilhac senhor de la Bastida et Masieiras Peire [Mazieres, Pierre], « paraire » (pareur, vraisemblablement de draps). Savinhac Bernat, licencié, apparait ensuite comme propriétaire des deux parcelles qui passent ensuite à Guillaume de Savinhac [Savignac], « lieutenant particulier de la cour du sénéchal du Rouergue ». On ne dispose pas d'information sur ces deux personnes qui appartiennent vraisemblablement à la famille noble de Savignac. La maison avec sa tour d'escalier et sa galerie percée d'ouvertures élégantes a vraisemblablement fait l'objet d'une importante campagne de travaux au cours du XVIe siècle. Les enduits récents ne permettant pas de voir la maçonnerie et les reprises. Elles semblent homogènes sur les photographies prises en 2004 qui sont toutefois peu lisibles. Me Jean Jacques Deygua est ensuite noté comme propriétaire. J J Deygua (1601-1652), seigneur de Salesse, hérite de son père l'office de conseiller du Roi ; il siège au présidial du Rouergue. Il aurait acheté la maison en 1631. « On pouvait en 1708 voir ses armes soutenues par deux dauphins au-dessus de la porte ». La maison de J. J. Deygua est contiguë (côté ouest) à une maison, appartenant à Marie d'Azémar, son épouse (avant 1611- après 1658). Il est possible que ce soit les Deygua qui aient réuni les bâtiments. Au 2e étage, le mur mitoyen ouest est percé de deux portes à linteau droit qui ouvraient sur la parcelle AT 9. Les maisons Deygua sont achetées en mars 1658 par les Visitandines qui l'échangent en mai 1658 avec l'hôtel de la Trésorerie. Après cet échange, il n'a pas été possible d'identifier les propriétaires jusqu'au début du XIXe siècle. La façade sur la place de la Fontaine commune aux immeubles des parcelles AT 9 et 10 a été reconstruite en pans-de-bois hourdés à la terre crue, vraisemblablement au cours du XVIIIe siècle, peut-être à l'occasion d'un réaménagement de la place. Sur le cadastre de 1826, la maison correspond à la parcelle 879 qui regroupe les parcelles actuelles AT 9 et 10. Côté ouest, un androne sépare la maison de sa voisine ; la galerie distribuant une petite aile en retour d'équerre est représentée du côté est de la cour ; il ne subsiste actuellement que la façade est de cette aile. Elle appartient à Nicolas, Augustin Claude (1771-1853) originaire des Vosges, percepteur. Les héritiers Claude vendent la maison le 4 juin 1862 ; l'acte précise seulement que Claude Nicolas Augustin « en jouissait depuis plus de 40 ans », ce qui ne permet pas de poursuivre les recherches des propriétaires au XVIIIe siècle. A partir de cette vente, la maison passe entre les mains de plusieurs propriétaires.

Située au cœur de la bastide de Villefranche-de-Rouergue, dans le quartier de la Fontaine, cette maison occupe une parcelle traversante entre la rue de la Monnaie et la place de la Fontaine. La façade sud sur la rue de la Monnaie est construite en retrait par rapport à la rue, la maison dispose ainsi d'une cour ce qui est assez rare dans la ville. Elle compte 4 niveaux distribués par un escalier en vis en pierre dans-œuvre, largement éclairé par des croisées en pierre. Cette façade conserve toutes ses ouvertures anciennes datables du XVIe siècle. Le vantail orné de 3 pilastres et de motifs gravés de la porte d'entrée en plein-cintre a été déposé afin de le mettre à l'abri des intempéries. Une galerie mettait en relation le corps de logis principal avec une petite aile en retour d'équerre qui a été détruite vraisemblablement à la fin du XIXe siècle. Au 1er étage, cette galerie est éclairée par deux croisées, au 2e étage, il s'agit d'une galerie ouverte bordée par des pilastres en pierre ; le dernier étage, moins haut, évoque un soleilhou et abrite des latrines. Le 1er et le 2e étages du corps de logis se composent de trois pièces se distribuant. Le 2e étage conserve une grande cheminée en pierre, ses planchers et ses poutraisons anciennes, ainsi qu'un grand évier rectangulaire en pierre. Construite en pans-de-bois hourdées de terre crue, la façade sur la place de la Fontaine a été vraisemblablement refaite au cours du XVIIIe siècle. Elle présente les mêmes fenêtres que la maison AT 9 car elle constituait alors une seule propriété.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Porte d'entrée d'une tourelle d'escalier avec ouverture à encadrement mouluré de trois gorges, surmontée de deux fenêtres jumelles. Le fleuron du gâble s'étale sur la traverse, formant croisillon et deux fuseaux à pinacles cantonnent la composition.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. La création de la ville se fit selon les règles fréquentes à cette époque : des rues perpendiculaires les unes aux autres, déterminaient des lots de terrains rectangulaires. Au centre de la ville, une place était réservée, ainsi qu'un terrain pour l'église sur un côté de la place. La place ne fut pas immédiatement bordée d'arcades, mais progressivement, au rythme des demandes de construction. En 1497, un incendie dévasta la place, expliquant qu'il ne reste pas de maisons antérieures au 16e siècle. Les maisons furent rebâties sur le plan primitif.

Bastide créée par Alphonse de Poitiers en 1256 en bordure de l'Aveyron. Elle devient le siège d'un archiprêtré en 1302. En 1463, la sénéchaussée du Rouergue obtient le droit de frapper monnaie royale. La bastide est une cité de riches marchands. Le porche de l'église empiète largement sur le sol de la place alors que l'église ne s'élève que rarement sur la place principale d'une bastide. La place est losangée. Les arcades se rejoignent aux angles en un étroit passage. La place est complétée par une croix en fonte dominée par la balustrade des couverts de Reyniès.

Style éclectique de la fin du 19e siècle.