Cahors (46000)

Arc de Diane : 1er siècle

Après avoir été installée dans deux salles de l'ancien lycée Gambetta à la fin du 18e siècle, la bibliothèque est transférée à la fin du 19e siècle. La construction est confiée à l'architecte départemental Rodolosse en 1895. Le bâtiment rectangulaire est organisé en travées régulières sur deux niveaux. La structure prévue évide totalement le rez-de-chaussée à l'origine, et l'architecte a prévu une ligne de poteaux en fonte soutenant des poutres et portant des corbeaux en pierre qui alternent avec des piles de pierre. Rejetés à l'arrière de la façade principale, ces éléments ponctuaient les espaces prévus pour les commerces et devaient répondre à une volonté de limiter les risques d'incendie. Le large escalier en bois à deux volées est éclairé par une verrière sommitale. Il est traité en faux appareil de plâtre au rez-de-chaussée, puis en faux lambris à l'étage. Le niveau de l'étage était décoré par de grandes toiles dues à Laury. Il ne subsiste plus que le tryptique du rez-de-chaussée, le "Marché Arabe" de 1903, et une "Chasse à cour" conservée au musée. Une série de bustes de marbre représentant des personnalités locales du 19e siècle est installée dans l'escalier. Les travaux intérieurs sont supervisés, entre 1902 et 1908 par l'architecte Emile Toulouse. La salle de lecture constitue un ensemble très cohérent, avec tous ses meubles de rangement et son décor porté de boiseries. Selon la tradition héritée du 17e siècle, la bibliothèque est conçue comme une longue salle aux murs tapissés de livres, longée de fenêtres à l'est. L'espace central est occupé par des tables de lecture ovales ou rectangulaires qui cernent le calorifère. Le plafond est orné de gypseries : moulures et cordons feuillagés délimitent un vaste oval dans lequel s'inscrivent des rosaces. Les côtés nord et sud sont traités en bandes et en faux caissons. Les tympans des baies, sur l'élévation est, portent des cartouches rococo non historiés.

La construction de la cathédrale s'étend du 11e au 15e siècle. L'édifice actuel remonte au 12e siècle, construit pour abriter la relique de la Sainte Coiffe rapportée de Terre Sainte par Géraud de Cardaillac. Au 14e siècle, achèvement de la façade et réalisation des décors peints. Un nouveau cloître est érigé à la fin du 15e siècle, de style flamboyant. Au 19e siècle, des restaurations sont menées sur les toitures et coupoles. Le plan présente une abside circulaire avec trois chapelles rayonnantes semi-circulaires. La nef est couverte de coupoles pour simplifier le problème des poussées. Le passage du plan carré au plan circulaire se fait par pendentifs. Fin 13e - début 14e siècle, des chapelles latérales sont aménagées dans la nef. Au 18e siècle, aménagement de la grande tribune qui entraîne la fermeture de l'ancien portail d'entrée. Le décor peint de la coupole occidentale de la cathédrale Saint-Étienne de Cahors est l’un des rares exemples de peinture monumentale gothique conservé aujourd’hui en France et en Europe. Il témoigne des embellissements apportés à l’édifice roman à la fin du XIIIe et au début du XIVe siècle. Visite virtuelle de la coupole : https://www.citedelarchitecture.fr/fr/visite-virtuelle/visite-virtuelle-de-la-coupole-de-la-cathedrale-de-cahors

L'origine du château serait liée à la nécessité de protéger l'aqueduc romain qui alimentait Cahors en eau, et qui fut démantelé par les Anglais lors de la guerre de Cent ans. Aux 15e et 16e siècles, diverses reconstructions furent entreprises. Le château comprend un donjon et, autour d'une étroite cour jouxtant le donjon, des corps de logis distribués en anneau. La partie Est est élevée d'un étage en briques datant vraisemblablement du 16e siècle. L'ensemble est cantonné, en faces ouest et nord, de quatre tours rondes, et surmonté d'un élément de mâchicoulis à triple rang de corbeaux dont il ne reste que la base.

Maison située dans l'enceinte du collège médiéval de Pelegry, qui se compose de deux éléments : un petit bâtiment avec fenêtres à croisées et à traverses qui semble faire partie d'un "lotissement" médiéval ; un bâtiment plus vaste auquel est ajoutée au 15e siècle une tour d'escalier, présentant en rez-de-chaussée un ensemble de fenêtres à remplages avec trumeau sculpté. C'est un élément remarquable pour la connaissance des percements médiévaux.

Porte sur cour du 15e siècle, flanquée de deux petits contreforts surmontés de pinacles. Le linteau et le bandeau au-dessus sont en accolade avec amortissement sculpté à la pointe. Linteau et piédroits sont moulurés. Au-dessus de cette porte, encastré dans le mur, se trouve un bas-relief représentant deux personnages soutenant un écusson. Porte monumentale sur rue du 17e siècle dont le fond est constitué par de larges plateaux en noyer sur lesquels sont fixées des moulures qui figurent des panneaux. Six de ces panneaux sont décorés de sculptures.

Au 7e siècle, l'évêque Desidermis fit construire une basilique en l'honneur de la Vierge qui devint, au 13e siècle, un monastère de Bénédictines connu sous le nom de Notre-Dame de la Daurade. Ce monastère a été détruit à la Révolution pour faire place au jardin de la préfecture. De l'ensemble conventuel ne restaitent visibles qu'un cloître du 17e siècle situé sur le cloître médiéval, et une grande partie du mur gouttereau nord de l'église. Puis furent mis au jour des vestiges de la salle capitulaire qui, contrairement aux dispositions habituelles, ouvre sur la galerie nord. Cette salle est datable de la fin du 12e ou du début du 13e siècle.

L'église a été construite au 14e siècle. La nef est flanquée de chapelles construites entre les contreforts et voûtées sur croisées d'ogives. Au sud de la première travée s'élève un clocher quadrangulaire, comportant trois étages percés de baies en tiers-point.

L'église existait déjà au 7e siècle et était alors placée sous la dédicace de Saint-Saturnin, premier évêque de Toulouse, et de Saint-Urcisse, évêque de Cahors. L'église actuelle possédait autrefois une crypte qui remontait à une origine très ancienne et a été ensevelie lors de la crue de 1927. La nef est complétée de collatéraux accompagnés, au nord, de deux chapelles du 15e siècle. Elle est prolongée par une abside à trois pans. La voûte d'ogives de la nef est supportée par quatre gros piliers carrés romans aux chapiteaux historiés. Le portail gothique à l'ouest est surmonté d'une rose. Le mur pignon fut prolongé en 1870 par un clocher mur qui provoqua la destabilisation de l'édifice. Ce clocher fut démoli en 1968. Deux tourelles sont adossées à la façade.

La réforme du chapitre opérée par l'évêque Géraud en 1090 est suivie de la reconstruction de l'église cathédrale et des bâtiments canoniaux au cours de la 1e moitié du XIIe siècle. L'autel majeur et l'autel de la Sainte-Coiffe sont consacrés par le pape Calixte II en 1119 et l'essentiel des travaux paraît achevé avec le portail nord dans les années 1140. Le quartier canonial fut établi au sud de la cathédrale tandis que l'évêché se développait au nord. Les bâtiments épiscopaux ont été détruits ou réutilisés et noyés au cœur de nouveaux édifices, particulièrement au XIXe siècle, mais les bâtiments canoniaux entourant le cloître ont subsisté.

L'ancien monastère des ermites de Cahors a été, à la fin du 19e siècle, la maison de campagne de Gambetta. Il se compose d'un ensemble de constructions très simples du 17e siiècle. La partie la plus intéressante est une longue galerie ouverte à piliers de bois, donnant sur l'extérieur, et dont le sol est constitué d'une mosaïque de galets. Cette galerie aboutit à une chapelle à nef large et choeur étroit, possédant d'intéressants plafonds. Celui de la nef, peint sur planches jointives, présente, autour d'un médaillon ovale représentant l'Assomption, de grands compartiments remplis de rinceaux de feuillages. Celui du choeur, en bois sculpté et peint, montre un Christ en forte saillie dans un médaillon central entouré d'un arrangement de fortes moulures. Cette décoration porte la marque du 17e siècle et aurait été exécutée vers 1686 ou 1687, date de l'inauguration de la chapelle.

La situation de la ville, dans une boucle du Lot, avait déterminé vers le 14e siècle la construction de remparts qui, allant d'une rive à l'autre, complétaient la défense naturelle de la cité. Des deux ponts fortifiés, le Pont Valentré subsiste encore. Le rempart possède une tour, dite des Pendus. A proximité se trouve un bâtiment du 15e siècle, sorte de corps de garde muni d'échauguettes aux angles.

L'édifice se compose de deux bâtiments d'époques différentes. La partie ancienne est formée de deux maisons dont quelques portes et fenêtres du rez-de-chaussée présentent encore des caractères de la Renaissance et du 17e siècle. L'autre partie, comprise entre la rue de la Fondue et le boulevard, a été bâtie en 1840.

Ce bâtiment serait l'ancien cuvier du chapitre où se portaient les redevances de vin ou de vendange. Si tel était le cas, plus rien ne subsiste des anciens cuviers. Le numéro 93 de la rue de la Garrelerie (ancienne rue de la Chantrerie) est mentionné de 1606 à 1650 comme pressoir du chapitre. L'immeuble communique avec la rue par quatre baies gothiques. L'étage est percé de fenêtres ouvertes au 18e siècle. Entre cette façade et l'impasse de la Chantrerie se trouve l'escalier. Les deux parties sont séparées par des pierres qui matérialisent le bâtiment primitif.

Le marquis de Mirepoix, gouverneur du Quercy, légua en 1665 à sa femme et à l'évêque de Cahors, un immeuble pour y fonder une institution de religieuses destinées à former des institutrices qui se répandraient dans le pays, et à instruire gratuitement des filles pauvres. La communauté s'installa dans l'immeuble en 1678. En 1792, la communauté fut supprimée et la ville y fonda une institution laïque donnant l'instruction aux jeunes filles pauvres. Après la Révolution, le conseil municipal fit appel aux religieuses des Sacrés-Coeurs de Jésus et de Marie qui s'installèrent dans le bâtiment en 1804, jusqu'à leur départ volontaire en 1900.

Après les guerres de Religion, la ville de Cahors demanda au roi de lui octroyer un collège de Jésuites par lettres patentes de 1604. Henri IV donna son accord. En 1605, l'ancien collège du Quercy est cédé aux Jésuites. La chapelle est édifiée sur l'emplacement de l'ancienne chapelle Saint-Michel des Pauvres, rattachée à l'hôpital Saint-Jacques. Le collège est fermé par le Parlement de Toulouse en 1762, avec suppression de l'ordre. Devenu lycée, il fut inauguré en 1806. La chapelle présente une large nef voûtée d'ogives et se termine par un choeur à cinq pans. Les bas-côtés sont occupés par deux chapelles latérales, ouvertes sur la nef par deux arcs en plein cintre soulignés par un bossage à pointe de diamant avec un décor à la clef. Les peintures murales dans le bas-côté nord présentent un Christ en majesté, entouré des principales vertus (la Foi, l'Espérance, la Vertu et la Prudence) dans un décor d'angelots tenant des couronnes de fleurs, de palmes et de draperies.

Ces deux fenêtres à meneaux horizontaux ont leurs encadrements moulurés avec bases pénétrant dans des socles arrondis reposant sur des appuis moulurés. Les anciens châssis ont disparu et sont remplacés par des menuiseries modernes.

Le rez-de-chaussée est construit en maçonnerie avec deux grandes portes en anse de panier s'ouvrant sur la rue. L'ouverture de la boutique a conservé son étal. Les deux étages en encorbellement reposent sur une lisse en chêne soutenue par les poutres du plancher. Des corbeaux en pierre soutiennent les avancées des pignons. Au premier étage, les fenêtres géminées latérales ont une petite rose au-dessus des lancettes. La fenêtre centrale a ses deux roses à quatre lobes intactes, garnies de leurs vitraux. La façade du deuxième étage est constituée par un pan de bois. Les deux fenêtres ont été agrandies au 18e siècle.

Cette maison possède plusieurs fenêtres du 15e siècle simple ou double meneau, généralement décorées de boudins rustiques ou torsadés. Quelques châssis anciens subsistent avec une partie de leur vitrerie en losanges.

Maison constituée de deux unités d'habitation distinctes aux 13e et 14e siècles, qui se partageaient un espace commun avec une cour et un passage. La façade sur rue du 15e siècle présente une arcade de boutique datant du 12e siècle. A l'intérieur, cheminées du 15e siècle.

Le rez-de-chaussée et le premier étage sont construits en pierre. Le rez-de-chaussée s'ouvre par une porte avec arc en tiers-point. A côté subsiste l'arc également en tiers-point d'une ancienne boutique. Le deuxième étage est percé de deux grandes fenêtres jumelles du 15e sècle, dont les doubles meneaux ont été supprimés pour y placer des fenêtres modernes.

Cet immeuble possède différents vestiges intéressants. Une porte d'entrée principale avec arc en plein cintre, pilastres cannelés et fronton triangulaire. Une trompe sur angle saillant. Un escalier à vis avec noyau évidé. Une porte avec encadrement à crossettes et trigliphes surmontée d'un fronton triangulaire orné de deux boules sur piédouches.

Petit édifice rural du 16e siècle. C'est une construction en briques dont un angle est surélevé d'une tour carrée ; elle possède de grandes arcades au rez-de-chaussée, une galerie à arcades surbaissées au premier étage. Les arcades du second étage ont été bouchées. Cette maison appartient à la catégorie disparue des maisons de campagne de bourgeois bâties aux environs immédiats de la ville.

La maison appartenait au collège Pélégri, fondé en 1365. L'édifice se présente comme une maison-tour, de plan barlong. Il compte sept niveaux, mais le bâtiment médiéval n'en comportait que cinq. Le quatrième niveau correspond au premier niveau médiéval. Fenêtres géminées. Le rez-de-chaussée côté nord a été prolongé par un four très important. Au premier étage d'origine, des traces d'enduit peint d'un faux-appareil ont été décelées.

Cet édifice complet de la Renaissance, construit en briques, comportait à rez-de-chaussée de grandes arcades (murées) et au-dessus, deux groupes de fenêtres triples enrichies de sculptures. Le bâtiment prend jour sur une cour intérieure sur laquelle saillit un escalier en vis desservant à chaque palier les étages de la maison.

Cette porte comportait primitivement huit panneaux à petit cadre, encadrant un panneau central plus important, à grand cadre. Les deux panneaux inférieurs, dégradés par les intempéries, sont masqués par une plinthe en lambris d'assemblage, avec deux panneaux à table saillante. Les sept panneaux qui subsistent sont décorés de sculptures représentant des fruits ou des masques et des feuillages stylisés. Un marteau en fer forgé est fixé au-dessus du panneau central.

Au début du 19e siècle, la ville de Cahors acquiert une demeure du 15e siècle pour y loger le premier évêque concordataire. L'édifice est entièrement reconstruit et doté d'ailes. De 1858 à 1860, une nouvelle chapelle est construite, à la demande de l'évêque Monseigneur Bardou, dans l'aile sud, sous la conduite de l'architecte diocésain Lainé. La chapelle est dotée d'un décor de qualité : parquet à panneaux et à bordures d'essence de bois polychrome, lambris à panneaux de noyer avec décor de rinceaux sculptés et de frises chantournées, peinture en grisaille, retable dans l'esprit 17e siècle, faux plafond à caissons, ...

Le corps de logis principal a été élevé au début du 16e siècle et présente un extérieur richement orné de sculptures. A l'intérieur, plusieurs salles ont conservé leurs cheminées en pierre et leurs plafonds en bois, entourés de corniches originales, avec poutres et solives moulurées et décorées de nielles peintes.

Palais urbain d'époque médiévale construit au 14e siècle pour Pierre de Via, beau-frère du pape Jean XXII. Palais remanié au 17e siècle, puis transformé en établissement pénitentiaire. L'ancien phare du 14e siècle, qui servait à indiquer aux bateliers le port de Cahors, serait en fait une cheminée (actuellement déposée). L'ouvrage se présente sous la forme d'une colonne octogonale construite en briques et flanquée, à partir de son tiers inférieur, d'un petit contrefort. A la partie supérieure, cette colonne est surmontée d'une lanterne en pierre coiffée d'une petite pyramide octogonale en briques, couronnée par un fleuron en pierre.

La ville antique de Cahors, successivement nommée Divona puis Cadurca, était le chef-lieu de la cité des Cadurques. La trame viaire semble mise en place à l'époque d'Auguste (27 av. J.-C. - 14 apr. J.-C.) ou plus vraisemblablement de Tibère (14 - 37 apr. J.-C.), période durant laquelle Divona se dote de thermes publics, d'un théâtre, d'un sanctuaire abritant un temple circulaire, d'une ou plusieurs places publiques et d'un amphithéâtre. L'amphithéâtre a été mis au jour en février-mars 2007 au niveau des allées Fénelon, à l'occasion d'une fouille archéologique préventive réalisée en amont de la construction d'un parking souterrain. Les conditions de sa découverte expliquent la faible portion dégagée ; les vestiges sont aujourd'hui présentés au sein d'une crypte archéologique. L'amphithéâtre de Cahors est à la fois représentatif du développement de ce type de monuments de spectacle durant le Haut-Empire et original dans sa conception. L'époque flavienne correspond en effet à une période de mise en œuvre de nombreux chantiers publics d'envergure dans beaucoup de chefs-lieux de cités de la Gaule. C'est plus particulièrement le cas des amphithéâtres. Le monument cadurcien est ainsi contemporain des édifices les plus célèbres et les mieux conservés, comme ceux de Nîmes ou encore d'Arles.

L'édifice est situé en partie sud de Cahors, à proximité du principal axe de circulation nord-sud de la ville antique (cardo maximus). Les constructions dégagées correspondent à une portion du quart sud-ouest de l'amphithéâtre. Il s'agit de l'infrastructure de l'édifice, dont les élévations, pour l'essentiel, nous échappent. L'excellente conservation des maçonneries autorise néanmoins une série d'hypothèses vraisemblables. Le monument s'appuyait sans doute contre le terrain naturel au nord et reposait sur une terrasse artificielle au sud, accessible grâce à plusieurs escaliers adossés au mur délimitant la plateforme, suivant une formule dont le seul exemple comparable est situé à Pompéi. Les substructions, formées par une ossature de murs annulaires et rayonnants qui délimitent des caissons remblayés et voûtés, ont permis d'obtenir une assise horizontale sur laquelle a été édifiée la cavea. Le mur périmétral a été reconnu sur près de 50 m linéaires. L'ouvrage a été dégagé sur une hauteur maximale de 3,45 m en élévation et sa largeur atteint 1,20 m. L'observation de son parement fait apparaître différents modes de construction, dont la qualité de mise en œuvre dépend du caractère visible ou non des maçonneries concernées : la base est constituée d'un petit appareil réglé de moellons parallélépipédiques en calcaire (opus vittatum), avec des joints pleins et parfois débordants, alors que les assises supérieures sont traitées avec des joints plus fins, creux et parfois tirés au fer