Troyes (10000)
- Département : Aube (10)
- Région : Grand Est
- Académie : Reims
La ville moyenne de Troyes se situe dans le département Aube (10) en région Grand Est. Le commune compte 62 782 habitants selon les estimations Insee 2025. Son territoire couvre 13 km² soit une densité de 4 689 hab./km². La commune fait partie d'un grand centre urbain caractérisé par une forte densité. L'altitude varie entre 100 m et 126 m. Ses habitants sont appelés les Troyens.







Les commerces de Troyes
Terroir et patrimoine de la commune de de Troyes
Appellations AOC / AOP
- Chaource
Monuments historiques de Troyes
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Abbaye Saint-Martin-ès-Aires (ancienne)
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Abbaye Saint-Loup (ancienne)
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Cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul
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Chapitre (ancien), puis entrepôt
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Ancien cirque municipal, puis Palais des congrès
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Maison de la congrégation des Soeurs de la Providence
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Eglise Saint-Nicolas
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Eglise Saint-Urbain
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Eglise Saint-Nizier
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Eglise Saint-Rémy
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Eglise Saint-Jean
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Eglise Saint-Pantaléon
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Eglise de la Madeleine et ancien cimetière
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Eglise Saint-Martin-es-Vignes
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Eglise Notre-Dame des Trévois
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Monastère de la Visitation
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Hospice Saint-Nicolas
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Hôtel d'Autruy
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Hôtel du Petit Louvre
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Hôtel Deheurles
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Hôtel de Chapelaine
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Hôtel de Vauluisant
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Hôtel de Marisy
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Hôtel des Ursins
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Hôtel de Mauroy
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Hôtel-Dieu (ancien)
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Chambre de commerce, ancien hôtel Camusat
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Hôtel de ville
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Kiosque à musique
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Maison dite du Dauphin
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Maison de l'Election
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Maison de l'Orfèvre
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Maison du Boulanger
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Ancien Evêché
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Préfecture de l'Aube (Hôtel de Département)
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Le moulin de la Rave, le moulin Notre-Dame, et la villa bourgeoise du parc des moulins dite villa Marot
Architecture contemporaine remarquable
Musées présents à Troyes
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maison de l'outil et de la pensée ouvrière
Adresse : 7 rue de la Trinité 10000 Troyes
Site internet : mopo3.com/
Le musée est créé grâce à la collection de Paul Feller (Jésuite et enseignant) confiée aux Compagnons du Devoir, qui l'ont enrichie et mise en valeur au fil des années.
Les Compagnons du Devoir.
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musée d'Art Moderne
Adresse : 14 place Saint-Pierre 10000 Troyes
Site internet : www.musees-troyes.com/art-moderne/
Né de la donation en 1976 de la collection Pierre et Denise Lévy, industriels du textile, le musée ouvre dans l’ancien évêché de Troyes en 1982.
Atlan, Balthus, Bissière, Bonnard, Braque, Chu Teh-Chun, Czaky, Daumier, Degas, Delacroix, Delaunay, De Staël, Dufy, Dufresne, Ernst, Friesz, Gauguin, Gris, Gromaire, La Fresnaye, Luce, Maillol,, Marquet, Marinot, Mare, Millet, Modigliani, Matisse, Ousman Sow, Picasso, Rouault, Seurat, Soutine, Vallotton, Valtat, Van Dongen, Vlaminck, Vuillard, Zadkine
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musée de la bonneterie
Adresse : 4 rue de Vauluisant 10000 Troyes
Site internet : www.musees-troyes.com/bonneterie/
Les collections de l'ancien conservatoire industriel, au sein du musée Saint-Loup, intègrent en 1948 l’Hôtel de Valuisant pour devenir le Musée de bonneterie. Une campagne de collectes d'articles tricotés est menée auprès de l'industrie de la maille.
<Évocation de l’activité la plus emblématique de Troyes, cité européenne de la maille. Savoir-faire ancestral et création textile. Des métiers en bois aux machines perfectionnées de l’« âge d’Or » des XIXe et XXe siècles. Des articles en maille : bas, chaussettes, maillots et culottes conjuguent technique et esthétique.
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musée des beaux-arts et d’archéologie
Adresse : rue Chrestien de Troyes 10000 Troyes
Site internet : www.musees-troyes.com
Des confiscations révolutionnaires sont à l’origine des collections, de peintures surtout, mais aussi de sculptures, qui furent réunies dans les locaux de l’abbaye Saint-Loup, à proximité de la cathédrale. La plus importante de ces confiscations est celle absolument majeure d’oeuvres du XVIIIe siècle, réalisée au château de La Chapelle-Godefroy : seize Natoire, quatre Louis de Boulogne et deux Bon de Boulogne (le château appartenait à la famille de ces peintres à la Révolution), un Claude-François Desportes, qui offre la seule vue connue du parc du château, un François Boucher, un immense Hubert Robert, deux belles natures-mortes du Napolitain Cusati et enfin, les chefs d’œuvres du musée : deux Watteau, "L’Enchanteur" et "L’Aventurière". D’autres grandes demeures ont été la source d’oeuvres essentielles pour le musée dans le domaine des peintures : - du château de Pont-sur-Seine, proviennent ainsi deux tableaux : une immense toile de Philippe de Champaigne et un rare tableau du védutiste vénitien, neveu de Canaletto, Bernardo Bellotto, "Ruines de la ville de Dresde" qui ont fait partie des collections du prince Xavier de Saxe ; - le château de Saint Liébault, demeure de la famille Colbert de Villacerf, a livré les bustes sculptés de Louis XIV et de Marie-Thérèse, dus au Troyen François Girardon ; - les confiscations auprès des communautés religieuses ont enrichi les collections, pour la sculpture du Moyen-âge, d’éléments issus d’édifices de la région, complétées de dépôts issus des restaurations du XIXe siècle et même de dépôt du musée du Louvre : bel ensemble sur la cathédrale Saint-Pierre Saint-Paul ou provenant d’édifices aujourd’hui disparus telles que la collégiale Saint-Etienne et l'église Saint-Denis à Troyes (belle série de chapiteaux d’époque romane) ou, dans l’Aube, de la Commanderie de l’Hôpital à Géraudot (tympan du Couronnement de la Vierge). Les monuments funéraires en marbre d’époque Louis XIII des Choiseul-Praslin, figurent parmi les premières confiscations révolutionnaires. De ces communautés proviennent, pour les peintures, des oeuvres d’artistes troyens de la première moitié du XVIIe siècle, tel que Jacques de Létin, qui côtoie les peintres de Langres Richard et Jean Tassel, objet du premier legs fait au musée en 1833 par le langrois Dominique Morlot. En effet, diverses donations sont à l’origine des collections de peintures : Giotto et Malouel, Lubin Baugin, Giuseppe Recco, Rubens, François Jouvenet, Thomas Hudson, Greuze, Elisabeth Vigée Le Brun, David ou encore Vien. Un ensemble de tableaux déposés par le musée du Louvre depuis 1872 comptent des oeuvres de Vasari, Van Dyck, Charles Lebrun, Pierre Mignard, joseph Vernet, Paillot de Montabert... Les grands mouvements picturaux français du XIXe siècle sont tous représentés dans les collections. Les oeuvres proviennent pour beaucoup de dons des artistes eux-mêmes ou de dépôt de l’Etat, enrichis de quelques achats : les paysages des peintres de Barbizon (Cabat, Chintreuil et Diaz) et les images exotiques des orientalistes Girardet et Girardot y sont prédominants. La sculpture - troisième fonds français - repose sur d’importants fonds d’atelier de sculpteurs originaires du département de l’Aube ayant oeuvré sur les grands chantiers parisiens : Pierre-Charles Simart, Paul Dubois, Jules Franceschi, Alfred Boucher. Une section d’arts décoratifs créée par le sculpteur–ornemaniste Frédéric-Eugène Piat fut ouverte au public en mai 1897. Enfin, de nombreux achats soutenus par l’association des Amis des musées ont permis de conforter les collections de peintures : Charles-Joseph Natoire, Jean Tassel, Damien Lhomme « le Maître de l’Almanach », le troyen devenu peintre de Modène Giovanni Boulanger, ou encore les peintres de nature-mortes, l’Anversois Jean-Michel Picart et le troyen Nicolas Baudesson. L’archéologie régionale : Les collections n’ont cessé de s’enrichir depuis l’entrée en 1820 de l’Apollon de Vaupoisson, bronze d’époque romaine, essentiellement par le biais de dons issus de trouvailles fortuites. Plus récemment, les grands travaux d’aménagement de la ville et de la région ont permis d’autres découvertes comme celle de décembre 1994, à Troyes, d’une villa du Ier siècle après J.-C. couvrant plus de 6.000 m2, où furent mis au jour des mosaïques, des enduits peints et un vase contenant 186.200 monnaies de bronze du 3e siècle après J.-C. (il semble que ce soit, aujourd’hui, le dépôt le plus important pour cette période de l’empire romain d’Occident). Les collections permettent de présenter la préhistoire du département de l’Aube. Les fouilles menées dans l’Aube ont révélé l’existence d’une occupation humaine ancienne (vers 200.000 à 30.000 av. J.-C.) dont témoigne l’abondante industrie lithique (silex, pierres taillées et polies qui faisait l’objet d’une exploitation intensive comme le montre la maquette réalisée lors des découvertes faites sur le tracé de l’autoroute A5) et des mégalithes plus récents (vers 6.000 à 2.000 av. J.-C.) : dolmen et menhir, présentés en extérieur. Pour la protohistoire, les pièces de l’Age du Bronze (2.500 à 750 av J-C) les plus remarquables sont le chaudron de Bûchères, les paires de jambières de Vinets, les phalères de Saint-Martin-de-Bossenay et de grandes épées. L’Age du Fer (750 av. J.-C. au début de notre ère) a livré des pièces d’armement, d’outillage et de parure, notamment des bijoux tels que le bracelet de Troyes-La Charme, à décor de têtes et d’arabesques ou les torques à motifs ternaires emblématiques de la peuplade des Tricasses, établis sur le territoire de Troyes, et des fibules d’une remarquable qualité d’exécution comme celles de Conflans au décor stylisé d’oiseaux. Le matériel de tombes à char, évoquées par des maquettes, et des pièces d’apparat (bracelet en or de Molesmes, oenochoé de Pouan) renvoient à l’aristocratie celte si présente en Champagne. De la période romaine évoquée à travers un parcours thématique - vie quotidienne, religion, artisanat, commerce, des pièces remarquables ponctuent le parcours comme l’Apollon, découvert en 1813 à Vaupoisson, (1er siècle après J.-C.). La période des Invasions, qui suit et qui introduit la période mérovingienne, s’illustre dans l’art de l’orfèvrerie cloisonnée, originaire des steppes d’Asie centrale, dont le Trésor de Pouan (5e siècle) est un des plus riches exemples. Découvert en 1842, le Trésor de Pouan fut donné au musée par l’Empereur Napoléon III. Il est composé d’un somptueux mobilier funéraire (armes et bijoux en or et orfèvrerie cloisonnée sertie de grenats) d’une tombe princière. L’épée damassée et le scramasaxe (long couteau ou sabre à tranchant) accompagnés de leur fourreau, ainsi que des plaques-boucles et le pendentif semblent se rattacher à l’orfèvrerie gréco-sarmate née sur les bords de la Mer Noire et diffusée en Europe de l’Ouest lors des grandes invasions. Il s’agit de la pièce maîtresse de la section d’archéologie régionale.
Nicolas Mignard (1606-1668) et Pierre Mignard (1612-1695), François Girardon (1628-1715) peintres et sculpteurs de Louis XIV. Georges Jacques Danton, le conventionnel originaire d’Arcis-sur-Aube (1759-1794). Jacques Nicolas Paillot de Montabert (Troyes, 1771-1849), peintre et théoricien de l’Art, grand partisan de la peinture à l’encaustique
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musée historique de Troyes et de la Champagne
Adresse : 4 rue de Vauluisant 10000 Troyes
Site internet : www.musees-troyes.com/art-champenois/
L’origine des collections du musée d’Art champenois du XVIe siècle est la même que celle du musée des Beaux-Arts et d’Archéologie. La Société Académique de l’Aube fonde le musée de Troyes en 1831, dans les locaux de l’ancienne abbaye Saint-Loup. Elle y réunit d’abord les œuvres d’art provenant des saisies révolutionnaires puis celles, très nombreuses, qui ont été données ou léguées au musée et enfin les nouvelles acquisitions. Ces collections sont cédées à la Ville en 1945. L’importance des collections nécessite de les répartir dans deux bâtiments. C’est ainsi que l’hôtel de Vauluisant accueille en 1949, les collections consacrées à l’art du XVIe siècle avec des peintures et des sculptures remarquables qui permettent d’avoir une vision de l’extraordinaire floraison de l’art religieux à Troyes et en Champagne à cette époque.
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muséum d’histoire naturelle
Adresse : 1 rue Chrestien de Troyes 10000 Troyes
Site internet : www.musees-troyes.com/museum/
L’origine du muséum d’histoire naturelle de Troyes remonte à la Révolution française. Ses premières collections sont constituées à la fin du XVIIIe siècle par des professeurs de l’école centrale du département de l’Aube. Le docteur François Serqueil (1768-1814), qui y enseigne la botanique et la zoologie, rassemble des collections d’histoire naturelle pour servir à l’enseignement, à partir d’objets recueillis auprès du Muséum national d’Histoire naturelle et de l’École des Mines à Paris, ainsi que des vestiges du cabinet du comte de Brienne, mort guillotiné en 1794. Louis-Marie-Athanase de Loménie, comte de Brienne (1730-1794), dont le frère fut ministre de Louis XVI, a fait reconstruire le château de Brienne, au Nord Est de l’Aube. Il y a réuni un cabinet d’histoire naturelle, un cabinet de physique et une bibliothèque. A la dissolution de l’école centrale, en 1802, les collections d’histoire naturelles sont cédées à la ville de Troyes qui en confie la gestion au Lycée, société savante fondée en 1798 et future Société Académique de l’Aube, avec comme conservateur, le professeur Serqueil, membre de la société. En 1814, lors de la campagne de France, l’explosion d’une bombe incendiaire détruit une partie des collections et le Docteur Serqueil est emporté par le typhus en soignant des soldats malades. Le musée est alors plongé dans l’oubli. A partir de 1826, la Société Académique de l’Aube élargit le champ de ses collectes et, en 1829, des collections de botanique, zoologie, géologie sont réunies. La Société adjoint à cet ensemble des objets récupérés du premier musée. Elle lance aussi un appel aux dons, qui réussit si bien, qu’en 1831 la collection quitte la préfecture aux locaux insuffisants pour ceux de l’ancienne abbaye Saint-Loup. Le 6 janvier 1833, le Cabinet d’Histoire Naturelle (futur Muséum) ouvre officiellement au public. Il accueille alors des cours tous les jeudis dont est « témoin » l’écorché d’Auzoux. Les collections du Muséum s’enrichissent au fil des années grâce aux dons de naturalistes, qui au XIXe siècle, sont surtout des amateurs passionnés. Ils sont souvent membres de sociétés savantes telles que la Société Académique de l’Aube. Ils se retrouvent pour échanger, ils organisent des sorties de terrain, recensent les plantes ou les roches et fossiles qu’ils récoltent et publient des articles. Les Mémoires de la Société Académique de l’Aube sont ainsi une source très riche d’informations sur l’histoire locale des sciences et du musée. Les spécimens issus de collectes organisées dans un but scientifique rejoignent souvent les collections du musée. Le 20 janvier 1967, la Société Académique de l’Aube cède l’intégralité des collections du muséum à la Ville de Troyes, soit plus de 20 ans après la cession à la ville des collections du Musée des beaux-arts et d’archéologie dont elle ne parvenait plus à assurer la gestion, dans un après-guerre difficile. Les collections du muséum rassemblent près d’un demi-million de spécimens qui couvrent tous les domaines de l’histoire naturelle : zoologie (animaux naturalisés, squelettes, insectes…), botanique (herbiers, graines et fruits…) géologie (roches, minéraux, fossiles…). Elles proviennent du monde entier et se sont constituées au cours des XIXe et XXe siècles grâce aux collectes réalisées par des naturalistes et voyageurs-naturalistes, ainsi que par des achats ou échanges.
Charles Plumier (1646-1704), botaniste de Louis XIV. Louis Thomas Jérôme Auzoux (1797-1880), médecin, créateur de nombreux modèles anatomiques utilisés dans l'enseignement de la médecine humaine et vétérinaire. Parmi les naturalistes qui ont contribué au développement du Muséum et des connaissances naturalistes, on peut citer plus particulièrement : Jean-Jacques Clément-Mullet (1796-1865), Stanislas Des Etangs (1801-1876), Pierre Briard (1811-1896), le docteur Etienne Cartereau (1799-1881), Gustave Cotteau (1818-1894), Henri Drouët (1829-1900), Louis (1817-1906) et Paul Hariot (1854-1917), et Alexandre Leymerie (1801-1878) et Jules Ray (1815-1883), ces deux derniers ayant été conservateurs au Muséum.
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Pharmacie musée de l'Hôtel-Dieu
Adresse : 31 quai des comtes de Champagne 10000 Troyes
Site internet : www.musees-troyes.com/apothicairerie/
L’Hôtel-Dieu-le-Comte est fondé au milieu du XIIe siècle par le 9e comte de Champagne, Henri Ier, dit le Libéral. À la fin du XVIIe siècle, la construction originelle en bois étant devenue trop étroite et vétuste, elle est remplacée par le bâtiment actuel en pierre. Aménagée vers 1725, l’apothicairerie du nouveau bâtiment est composée de l’actuelle grande salle de stockage ainsi que d’une officine. La pharmacie de l’Hôtel-Dieu est restée en activité jusqu’en 1962. Elle a été conservée dans l’état de son installation au début du XVIIIe siècle. Les collections ont fait l’objet d’un dépôt par l’Hôpital de Troyes à la Ville de Troyes en 1976. Actuellement fermé en raison du chantier de rénovation de l’aile ouest de l’édifice qui accueillera la future Cité du vitrail (projet porté par le Département de l’Aube).
Déchèteries à proximité
- Déchèterie de Pont-sainte-marie
Av de Tirvers
Commune : Pont-Sainte-Marie
À environ 2 km
Adresse : Av de Tirvers
Gestionnaire : Ourry - Déchèterie de La-chapelle-saint-luc
Rte de Montgueux Cd 60
Commune : La Chapelle-Saint-Luc
À environ 3 km
Adresse : Rte de Montgueux Cd 60
Gestionnaire : Ourry - Déchèterie de Saint-julien-les-villas
Rte de Rouilly
Commune : Saint-Julien-les-Villas
À environ 4.3 km
Adresse : Rte de Rouilly
Gestionnaire : Veolia Propreté (Onyx Est)
Statistique sur la délinquance, les crimes et délits
Indicateur | Total 2016-2024 | Total 2024 |
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Autres coups et blessures volontaires | 2292 | 292 |
Cambriolages de logement | 1668 | 151 |
Coups et blessures volontaires | 4357 | 594 |
Coups et blessures volontaires intrafamiliaux | 2065 | 302 |
Destructions et dégradations volontaires | 6555 | 593 |
Escroqueries | 3302 | 377 |
Trafic de stupéfiants | 485 | 59 |
Usage de stupéfiants | 2669 | 273 |
Usage de stupéfiants (AFD) | 465 | 97 |
Violences sexuelles | 1073 | 190 |
Vols avec armes | 80 | 0 |
Vols d'accessoires sur véhicules | 522 | 50 |
Vols dans les véhicules | 1895 | 281 |
Vols de véhicules | 879 | 68 |
Vols sans violence contre des personnes | 7707 | 774 |
Vols violents sans arme | 804 | 49 |
- INSEE : 10387
- Canton : Troyes (1099)
- EPCI : CA Troyes Champagne Métropole (200069250)
- Altitude : Moyenne 109m (min 100m / max 126m)
- Zone d'emploi : 04425
- Unité urbaine : Troyes (10601)
- Gentilé : Troyens
- Groupement gendarmerie : Commissariat de police de Troyes