Richelieu (37120)

Du château édifié par le cardinal de Richelieu au 17e siècle, et presque entièrement détruit au début et à la fin du 19e siècle, ne subsistent que l'hémicycle d'entrée avec ses pavillons et sa porte centrale ; le pavillon central de l'aile droite de l'avant-cour (pavillon dit le Dôme) ; les douves et l'ancien pont d'accès à la cour d'honneur ; les deux pavillons d'extrémité de l'hémicycle terminant à l'est les jardins.

Edifice classique entièrement construit au 17e siècle. Son plan a peut-être été établi par l'architecte Lemercier. L'église se compose d'un grand vaisseau central flanqué de deux bas-côtés. Le transept est formé par une travée plus large que les autres. Les deux chapelles placées au fond de chacun des collatéraux sont décorées de sculptures, plafonds peints et retables. En élévation, la disposition intérieure obéit à une ordonnance dorique dont l'entablement reçoit les voûtes en pierre. La façade principale est décorée de deux ordres superposés, avec niches de chaque côté de la porte et de la fenêtre centrale.

Le cardinal de Richelieu décida de transformer le village où il était né en une ville dont les plans furent tracés par l'architecte du château, Jacques Lemercier. La ville présente un plan régulier, avec fossés, mur d'enceinte, portes monumentales, rues symétriques et maisons alignées. Le mur d'enceinte subsite en grande partie, de même que les quatre portes monumentales flanquées de pavillons, commandant les quatre routes d'accès à la ville.

Le cardinal de Richelieu décida de transformer le village où il était né en une ville dont les plans furent tracés par l'architecte du château, Jacques Lemercier. La ville présente un plan régulier, avec fossés, mur d'enceinte, portes monumentales, rues symétriques et maisons alignées.

Le cardinal de Richelieu décida de transformer le village où il était né en une ville dont les plans furent tracés par l'architecte du château, Jacques Lemercier. La ville présente un plan régulier, avec fossés, mur d'enceinte, portes monumentales, rues symétriques et maisons alignées. Cet édifice est l'un des 28 hôtels de l'axe principal et peut être considéré comme un hôtel type ou un archétype des maisons de la Grande Rue.

Halles comptant parmi les plus importantes construites en bois existant en France. Elles se composent d'un vaisseau divisé en trois nefs sous comble à deux pentes, et comportant seize travées dans la nef centrale, onze dans les parties latérales, dont trois travées du côté ouest et deux du côté est englobées au 19e siècle dans des constructions qui masquent les façades des halles. A l'intérieur les travées sont formées par de grandes fermes composées de poteaux, arbalétriers, entraits, poinçons et liens.

Edifice de plan en U constitué de trois ailes en équerre venant s'emboîter à l'arrière du chevet de l'église. L'ancienne cure forme un quadrilatère ouvert sur une cour centrale par une galerie à arcade. L'accès s'effectue par un porche cintré ménagé entre deux pavillons. L'élévation extérieure suit la logique de symétrie de la ville. Les façades sur cour ont été modifiées. L'intérieur, pour la partie communale, est divisé en petites salles, distribuées par un couloir central, dont une majorité servaient de chambres. La salle contenant la bibliothèque des lazaristes a été refaite à la fin du 19e siècle.