Pessac (33600)

En 1787, Jacques Patin, contrôleur au bureau des fermes du Roi, achète la demeure qu'il fait probablement restaurer et agrandir (dépendances). Il l'agrémente d'un porche à colonnes et d'une orangerie. L'édifice se compose d'une demeure prolongée à l'est par d'anciennes dépendances et à l'ouest par l'orangerie. Un parc s'étend devant le côté sud des bâtiments.

La cité Frugès de Le Corbusier est protégée au titre des sites par arrêté du 2 mars 1976, par le règlement de la ZPPAUP créée par arrêté du 27 octobre 1998. Dix maisons sont protégées au titre des Monuments historiques. La cité Frugès fait partie de la sélection proposée pour le dossier d'inscription sur la liste du patrimoine mondial. Elle est le plus ancien des trois sites représentant l'habitat standardisé.

Logement construit en 1925 par Le Corbusier, avec son cousin Pierre Jeanneret, à la demande d'Henry Frugès. Celui-ci, fils d'un grand industriel sucrier de Bordeaux, avait commandé à l'architecte une série de cinquante-trois logements, amorce d'un grand ensemble où Le Corbusier a pu mettre en oeuvre quelques-unes de ses idées sur l'urbanisme et sur l'industrialisation et la standardisation de la production du bâtiment. Parmi les nouveautés : canon à ciment, murs isothermiques, jardins suspendus, quelques garages intégrés et d'autres commodités à l'avant-garde du progrès. Les maisons sont achevées en 1926 mais restent vides jusqu'en 1929. L'immeuble au 3 rue des Arcades, une maison type dans un ensemble de sept à la limite du quartier, a conservé un état proche de l'origine. D'autres maisons de l'ensemble ont été restaurées avec leur polychromie extérieure d'origine. La maison municipale Le Corbusier (au 4 rue Le Corbusier) est ouverte à la visite et conserve une maquette de l'ensemble, réalisée par Henry et Christiane Frugès en 1967.

En 1924, Henry Frugès, industriel du sucre, confie à Le Corbusier et Pierre Jeanneret la réalisation de deux cités ouvrières. La première est réalisée à Lège, l'autre à Pessac, cette dernière profitant de l'expérience acquise à Lège. Les contraintes économiques liées notamment à la densité et à l'occupation de la parcelle, obligent Le Corbusier à concevoir des regroupements, en dehors de quelques cas. Aux quatre types de maisons combinées (quinconce, arcade, gratte-ciel et zig-zag) s'ajoutent des maisons isolées spécifiques et les maisons jumelles. Le chantier débute en 1925 et s'achève en 1926. Difficiles à vendre car plus chères que prévu, les maisons font l'objet d'appropriations qui défigurent le projet initial. La maison au 27 rue Xavier-Arnozan appartient au type des maisons zig-zag.

La Cité Frugès de Pessac est le plus ancien des trois sites représentant l'habitat standardisé. En 1924, l'industriel Henri Frugès confie à Le Corbusier et Pierre Jeanneret la réalisation de deux cités ouvrières. Une première à Lège, sur le bassin d'Arcachon, et la seconde à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux. Les contraintes économiques obligent Le Corbusier à concevoir des regroupements en dehors de quelques cas, sans toutefois l'obliger à renier ses exigences plastiques. Aux quatre types de maisons combinés: quinconce, arcade, gratte-ciel et zigzague s'ajoutent des maisons isolées spécifiques. Le chantier débute en 1925 et s'achève en 1926. L'expérience de Pessac représente une tentative ambitieuse, tant du point de vue technique et financier que méthodologique et esthétique.

La Cité Frugès de Pessac est le plus ancien des trois sites représentant l'habitat standardisé. En 1924, l'industriel Henri Frugès confie à Le Corbusier et Pierre Jeanneret la réalisation de deux cités ouvrières. Une première à Lège, sur le bassin d'Arcachon, et la seconde à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux. Les contraintes économiques obligent Le Corbusier à concevoir des regroupements en dehors de quelques cas, sans toutefois l'obliger à renier ses exigences plastiques. Aux quatre types de maisons combinés : quinconce, arcade, gratte-ciel et zigzague s'ajoutent des maisons isolées spécifiques. Le chantier débute en 1925 et s'achève en 1926. L'expérience de Pessac représente une tentative ambitieuse, tant du point de vue technique et financier que méthodologique et esthétique.££La « maison jumelle » fait partie, comme celle de l'ingénieur Vrinat, des maisons isolées spécifiques.

La cité Frugès de Le Corbusier est protégée au titre des sites par arrêté du 2 mars 1976, par le règlement de la ZPPAUP créée par arrêté du 27 octobre 1998. Dix maisons sont protégées au titre des Monuments historiques. La cité Frugès fait partie de la sélection proposée pour le dossier d'inscription sur la liste du patrimoine mondial. Elle est le plus ancien des trois sites représentant l'habitat standardisé.

En 1924, Henry Frugès, industriel du sucre, propriétaire de quatre usines à Bordeaux, va confier à Le Corbusier et Pierre Jeanneret la réalisation de deux cités ouvrières. Une première à Lège, la seconde à Pessac. Les contraintes économiques liées notamment à la densité et à l'occupation de la parcelle, obligent Le Corbusier à concevoir des regroupements en dehors de quelques cas. Ces regroupements permettent un jeu combinatoire qui ménage et soutient ses exigences plastiques. Aux quatre types de maisons combinées : quinconce, arcade, gratte-ciel et zig-zag, s'ajoutent des maisons isolées spécifiques, comme celle de l'ingénieur Vrinat et les maisons jumelles. Le chantier débute en 1925 et s'achève en 1926. L'adduction d'eau se fera en 1929. Les maisons, plus chères que prévu, sont difficiles à vendre et feront rapidement l'objet d'appropriations diverses qui défigurent le projet initial.

La Cité Frugès de Pessac est le plus ancien des trois sites représentant l'habitat standardisé. En 1924, l'industriel Henri Frugès confie à Le Corbusier et Pierre Jeanneret la réalisation de deux cités ouvrières. Une première à Lège, sur le bassin d'Arcachon, et la seconde à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux. Les contraintes économiques obligent Le Corbusier à concevoir des regroupements en dehors de quelques cas, sans toutefois l'obliger à renier ses exigences plastiques. Aux quatre types de maisons combinés: quinconce, arcade, gratte-ciel et zigzague s'ajoutent des maisons isolées spécifiques. Le chantier débute en 1925 et s'achève en 1926. L'expérience de Pessac représente une tentative ambitieuse, tant du point de vue technique et financier que méthodologique et esthétique.

La Cité Frugès de Pessac est le plus ancien des trois sites représentant l'habitat standardisé. En 1924, l'industriel Henri Frugès confie à Le Corbusier et Pierre Jeanneret la réalisation de deux cités ouvrières. Une première à Lège, sur le bassin d'Arcachon, et la seconde à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux. Les contraintes économiques obligent Le Corbusier à concevoir des regroupements en dehors de quelques cas, sans toutefois l'obliger à renier ses exigences plastiques. Aux quatre types de maisons combinés : quinconce, arcade, gratte-ciel et zigzague s'ajoutent des maisons isolées spécifiques. Le chantier débute en 1925 et s'achève en 1926. L'expérience de Pessac représente une tentative ambitieuse, tant du point de vue technique et financier que méthodologique et esthétique.

La Cité Frugès de Pessac est le plus ancien des trois sites représentant l'habitat standardisé. En 1924, l'industriel Henri Frugès confie à Le Corbusier et Pierre Jeanneret la réalisation de deux cités ouvrières. Une première à Lège, sur le bassin d'Arcachon, et la seconde à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux. Les contraintes économiques obligent Le Corbusier à concevoir des regroupements en dehors de quelques cas, sans toutefois l'obliger à renier ses exigences plastiques. Aux quatre types de maisons combinés: quinconce, arcade, gratte-ciel et zigzague s'ajoutent des maisons isolées spécifiques. Le chantier débute en 1925 et s'achève en 1926. L'expérience de Pessac représente une tentative ambitieuse, tant du point de vue technique et financier que méthodologique et esthétique.

Prototype des réalisations futures de Le Corbusier, la cité-jardin de Pessac a été construite en 1926 selon des techniques nouvelles et des conceptions sociales qui ont trouvé là leur application pratique. Quatre types de maisons ont été réalisés dans la cité Frugès. La maison située 4, rue Le Corbusier, est du type gratte-ciel, constitué par une maison double surmontée d'une terrasse (rez-de-chaussée + 2).

Réalisé en 1922 par le sculpteur Gaston Leroux-Veneuvot, le monument ne sera inauguré qu’en 1927, après un long procès qui opposera la ville à l’artiste. L’ensemble se présente sous la forme d’une stèle devant laquelle se dresse un soldat debout avec, reposant à ses pieds, deux soldats blessés. De l’autre côté, une représentation de la France inscrit le nom des victimes du conflit. Deux autres éléments ont été ajoutés afin d’y mentionner les noms des combattants morts durant la guerre de 1939-1945.

Le moulin est l'une des unités qui composaient la ferme expérimentale construite vers 1761 par Jacques Alexandre de Ladebat, armateur bordelais. Cette ferme était destinée à la culture de céréales mais également à l'élevage de vers à soie, nourris grâce à une plantation de mûriers. Dernier vestige de cet ensemble, la ferme ayant été détruite en 1970, le moulin à trois arches est bâti sur la rivière qui sert de limite aux communes de Pessac et de Mérignac. Restauré en 1993, il se distingue par l'architecture de son élévation amont : niche à voûte en cul de four avec moulures et agrafe à volutes, fronton à décor figurant eau ruisselante, conque et plantes aquatiques.

Mentionné dès 1235, mais probablement antérieur, l'hôpital de Bardenac était le premier hôpital, à la sortie de Bordeaux, que rencontraient les pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Prieuré à partir du 14e siècle, il passa aux mains des Jésuites en 1600. La fonction d'hôpital disparut en 1751. Le domaine, vendu comme bien national, fut acheté en 1810 par Flameric de Lachapelle qui accueillait les derniers pèlerins dans le bâtiment du porche. Il en subsiste un logis qui conserve des traces de fresques du 16e siècle, et une partie des communs. La chapelle a disparu entre 1820 et 1849 suite à l'élargissement de la route. Le logis, de la fin du 15e ou du début du 16e, est en forme de L, amputé de l'aile nord-sud au 19e siècle. Demeure l'aile est-ouest avec, derrière les arcades, la façade primitive, des fenêtres à meneaux côté nord, des portes anciennes et, à l'étage, une charpente d'origine ainsi que tout le décor peint sur les murs. Ces peintures daterait du 16e siècle. S'y devinent un paysage avec deux arbres, une scène de chasse et d'autres éléments dans des panneaux.